vendredi 23 février 2024
APOCALYPSE 2,28
jeudi 22 février 2024
APOCALYPSE 2,27
mardi 20 février 2024
APOCALYPSE 2,26
lundi 19 février 2024
APOCALYPSE 2,25
APOCALYPSE 2,24
Malgré toute sa puissance de séduction, la Jézabel de Thyatire ne réussira pas à étendre son emprise sur toute la communauté. Une partie des croyants de l'église, certes minoritaire, continuera à résister à la puissance d'erreur qui a captivé la majorité. La nature de cette erreur, sur le plan doctrinal, nous est ici révélée. Elle touche à la question du combat spirituel, dada toujours en vogue de nos jours. Selon les commentateurs, l'erreur qui avait gagné l'église de Thyatire était le gnosticisme, qui enseignera que, pour vaincre Satan, il faut pénétrer dans sa forteresse, à savoir expérimenter le mal en profondeur. Il fallait donc en quelque sorte vaincre Satan par Satan, le désarmer en utilisant ses propres armes contre lui.
L'enseignement des gnostiques va à l'encontre de celui de Jésus. Pour entrer dans la maison d'un homme fort, il faut, dira Jésus, d'abord le lier. Seulement ensuite on peut la piller : Matthieu 12,29. C'est cette oeuvre première que Jésus a faite par Sa victoire sur la croix, suivie de Sa résurrection : Colossiens 2,15. En-dehors de Jésus, nul n'a le pouvoir de vaincre Satan par lui-même, encore moins en se livrant au mal. L'erreur à laquelle avait souscrit la majorité de l'église de Thyatire nous avertit du danger d'imaginer, d'inventer des procédés de notre propre crû, pour prétendre arriver sans Christ aux fins auxquelles seul le Christ peut nous conduire. Il ne suffit pas d'avoir de "bonnes intentions" pour que les moyens que l'on utilise pour arriver à nos fins soient valides. Toute pratique spirituelle qui n'a pas Christ pour centre, et l'Esprit pour instrument, ne fait qu'enfler l'orgueil humain et servir à la satisfaction de la chair : Colossiens 2,8 à 23.
A la minorité fidèle de Thyatire, le Seigneur ne demandera rien si ce n'est de rester ferme dans sa foi, ses positions et son attachement à la vérité. Dans un contexte majoritaire de séduction, la fidélité à Christ et à l'Evangile est un fardeau suffisamment lourd à porter pour qu'on n'y ajoute pas. Que Dieu soutienne la foi et la persévérance de tous ceux qui, aujourd'hui, se trouvent aux prises avec l'erreur dans leur propre assemblée !
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jeudi 15 février 2024
APOCALYPSE 2,23
Le jour du jugement de Dieu n'est pas seulement, pour la Jézabel de Thyatire, un jour de châtiment. C'est un jour d'éradication au cours duquel tout ce qui porte la marque génétique de sa nature est ôté et frappé de mort. Le verset précédent nous a montré que l'influence néfaste de la fausse prophétesse dans l'Eglise de Thyatire n'était pas due à son seul pouvoir de séduction. Celle-ci n'avait pu prospérer que parce qu'on l'avait laissé faire, et que beaucoup avait épousé ses vues, commettant avec elle un adultère spirituel. De ces unions bâtardes, la lettre adressée à l'Eglise de Thyatire nous apprend que de nombreux enfants étaient nés. Comme il en est de la Parole de Dieu semée dans les coeurs, l'hérésie, en se mariant avec le coeur et la volonté des êtres, ne reste pas sans fruit. Elle se multiplie en enfantant de nombreux sous-groupes qui portent tous en eux le caractère, la nature de l'erreur de laquelle ils sont issus. Tous ces sous-groupes (sectes) qui sont le fruit direct des unions diverses de Jézabel avec ses amants, ne seront pas épargnés, dit le Seigneur, au jour où, après le temps de Sa longue patience, Il interviendra pour extirper de Son assemblée l'hérésie.
Avec justesse, le sage Gamaliel a prévenu le sanhédrin de ne pas s'acharner à vouloir éradiquer absolument le mouvement spirituel naissant initié par les apôtres de Jésus. "Si cette entreprise, a-t-il-dit, ou cette activité vient des êtres humains, elle se détruira ; en revanche, si elle vient de Dieu, vous ne pourrez pas la détruire. Ne courez pas le risque de combattre contre Dieu" : Actes 5,38-39. Gamaliel a raison, mais la lettre à l'Eglise de Thyatire montre qu'il faut cependant pondérer cet avis. Une hérésie peut tenir et infecter une Eglise longtemps, avant que Dieu ne décide, par le jugement, d'y mettre fin. En voyant l'hérésie perdurer, nous pourrions penser à tort qu'elle jouit de la faveur de Dieu. Mais la promesse faite par Dieu ici est certaine : le moment arrivera où elle sera jugée et disparaîtra. Le temps de la patience de Dieu envers l'hérésie n'est pas vain. C'est un temps d'épreuve qui teste la fidélité des Eglises à la Parole et à l'enseignement reçu. Ce temps est donné à ceux qui se sont laissés séduire pour se repentir. Il est donné à ceux qui sont fidèles pour mettre en valeur, par la durée de leur attachement à la saine doctrine, leur persévérance dans la défense de la vérité. Personne, au jour où Dieu tranchera entre ce qui, à Ses yeux, est juste de ce qui ne l'est pas, ne pourra dire qu'il ne savait pas. Chacun, par le temps de la longue patience de Dieu, aura eu le temps de se faire un avis éclairé sur les positions des deux camps. Le choix de chacun aura donc été volontaire et responsable, et sera traité comme tel.
Le jour du châtiment de la Jézabel de Thyatire ne sera pas sans effet sur les autres Eglises. Toutes les Eglises, qui apprendront ce qui vient de se passer à Thyatire, en seront impactées. Elles reconnaîtront, dans le jugement qui a atteint la fausse prophétesse, la main de Dieu, en prendront acte et en tireront des enseignements pour elles-mêmes. Elles se souviendront que le Fils de Dieu qu'elles servent est un Dieu que l'on ne peut tromper. Il est Celui qui connaît toutes choses et qui procède à l'examen, non seulement de nos actes, mais des motivations profondes qui les inspirent : Jérémie 17,10 ; 20,12 Le jugement de Dieu n'affecte pas seulement ceux qui en sont l'objet. Pour les élus et les fidèles de Dieu, il est une exhortation puissante à la fidélité et à la vigilance. Que Dieu nous donne la grâce de persévérer dans l'attachement à la vérité, quand bien même nous serions une petite minorité à l'être.
lundi 12 février 2024
APOCALYPSE 2,22
Le Seigneur fait part ici, et dans le verset suivant, des mesures qu'Il va prendre contre la fausse prophétesse qui séduit Ses serviteurs dans l'Eglise de Thyatire. Il va, dit-il, la jeter sur un lit, expression qui suggère un châtiment par une maladie. Cette façon d'agir du Seigneur envers cette femme n'est pas due au hasard. Elle est Sa réponse inspirée et adaptée à ses prétentions d'être prophétesse, porte-parole de Dieu. Il se peut que, dans sa vantardise, celle-ci voulait prouver sa mandature divine par des guérisons. Ici, le Seigneur la surprend de deux manières. D'abord par le fait que, bien que soi-disant inspiré et visionnaire, elle n'ait pas vue venir le châtiment qui l'atteint. Ensuite, par celui qui démontre la vanité de ses prétentions quant à son pouvoir de guérir les autres, alors qu'elle ne peut se guérir elle-même.
Bien qu'elle soit la première visée par la correction du Seigneur, Celui-ci précise qu'elle ne sera pas la seule. Tous ceux qui ont commis adultère avec elle, c'est-à-dire qui se sont laissés séduire par elle et ont épousé ses vues immorales, seront tourmentés avec elle. Nous ne pouvons pas, en tant qu'enfants de Dieu, nous unir à l'immoralité et à l'idolâtrie et échapper lorsque le Seigneur vient pour châtier l'infidélité. C'est un principe qui est vrai autant sur le plan physique que spirituel. Nous partageons le sort de ceux à qui nous nous unissons, pour notre bien et notre salut comme pour notre malheur et notre perdition.
Le Seigneur rappelle qu'il n'y a, pour ceux qui se sont laissés séduire, qu'un seul moyen d'échapper à la colère qui va atteindre la Jézabel de Thyatire : la repentance, la dissociation complète de coeur et d'esprit avec son ministère, la foi en ses paroles et ses prétentions. Il nous faut, face à tout message et toute prédication, avoir la même attitude que les Juifs de Bérée face à Paul : examiner l'Ecriture pour voir si ce que l'on nous dit est conforme à la pensée de Dieu : Actes 17,11. Nous ne devons pas, de plus, nous contenter d'écouter. L'éloquence d'un prédicateur n'est pas une preuve de sa fidélité à Dieu. Nous devons examiner le fruit que porte sa vie, les marques visibles de sa fidélité à Dieu, de son humilité et de son amour pratique et serviable pour les autres. La parole sans la vie qui l'accompagne est un démenti formel de la validité des propos tenus : Matthieu 7,15 à 18.
jeudi 8 février 2024
APOCALYPSE 2,21
Malgré la nuisance que représentait pour l'Eglise de Thyatire la fausse prophétesse qui enseignait en son sein, le Seigneur ne s'est pas pressé pour la juger. Peut-être espérait-Il que les responsables de l'église usent eux-mêmes de fermeté et fassent preuve à son égard de l'exercice de la discipline qu'Il a recommandé en pareille situation. Mais tel n'a pas été le cas. Quoi qu'il en soit, la Jézabel de Thyatire ne pourra pas se plaindre de la dureté du châtiment qui va l'atteindre. Le Seigneur lui a donné tout le temps qu'il fallait, et même plus, pour qu'elle revienne à Lui, confesse son orgueil et mette fin à ses prétentions mensongères de porte-parole de Son nom. La conclusion de la patience de Dieu à son égard est que, manifestement, elle ne veut pas changer d'attitude. Elle reste campée sur ses positions et continue à revendiquer, au nom du Seigneur qui, dit-elle, l'inspire, la fonction et le rôle qu'elle joue, pour le malheur de ceux qui l'écoutent, au sein de l'église.
Il y a plusieurs leçons à tirer de l'attitude du Seigneur et de la fausse prophétesse de l'église de Thyatire pour nous. La 1ère touche à la patience de Dieu. Elle nous enseigne que, même si une situation est grave, il n'est jamais sage de se précipiter pour sévir et exercer la discipline. La personne concernée doit être avertie et du temps doit lui être donné pour changer d'attitude. Elle doit comprendre clairement ce qui lui est reproché et ce dont on attend qu'elle se repente. La seconde touche au danger de l'endurcissement qui guette tous ceux qui ne sont pas prêts à s'examiner lorsqu'ils sont repris. Etre repris par ses frères n'est pas de leur part une preuve d'hostilité à notre égard, mais d'amour. Le Seigneur, cependant, avertit : Un homme qui mérite d'être repris, et qui raidit le cou, sera brisé subitement et sans remède : Proverbes 29,1. C'est ce qui va se produire pour la Jézabel de l'église de Thyatire.
mardi 6 février 2024
APOCALYPSE 2,20
Si dans l'Eglise de Pergame, le Seigneur dénonce la présence nuisible de gens qui piégeaient les croyants et les conduisaient à la pratique de l'idolâtrie, le même problème se retrouve dans l'église de Thyatire, sous une forme beaucoup plus grave. Ici, en effet, les causeurs de trouble ne se comptent pas parmi les croyants, mais parmi les responsables. Le Seigneur reproche ainsi à l'ange de l'Eglise de Thyatire de laisser une femme, qu'Il compare à la Jézabel de l'Ancien Testament, enseigner et égarer Ses serviteurs pour qu'ils commettent les mêmes péchés que ceux commis à Pergame. L'autorité de cette femme dans l'Eglise de Thyatire lui vient d'une chose : celle d'être prise pour une prophétesse, une véritable porte-parole de Dieu.
L'analogie faite avec Jézabel nous fournit de nombreux renseignements sur le caractère usurpé de la fonction qu'occupait cette femme dans l'Eglise de Thyatire. La 1ère chose que l'on apprend d'elle est qu'elle ne faisait pas partie du peuple de Dieu. Jézabel n'était pas israélite, mais une sidonienne idolâtre. C'est de manière indue qu'elle s'est trouvée propulsée à la tête d'Israël, suite à son mariage avec Achab, roi faible et défaillant : 1 Rois 16,31. Or, les mêmes effets ont les mêmes causes. Si la femme qui séduisait les serviteurs du Seigneur à Thyatire avaient le droit d'enseigner, la cause en était due à la faiblesse des responsables de l'église qui n'avaient pas su être fermes face à ses prétentions. L'alliance qu'ils ont contracté avec elle était une alliance contre nature, avec quelqu'un qui n'était même pas né de nouveau. La caractéristique dominante du règne de Jézabel fut de livrer une guerre sans merci aux véritables prophètes et serviteurs de Dieu : 1 Rois 18,4. Souvenons-nous de la fureur et de la haine qui furent les siennes après que le prophète Elie tuât tous les prophètes de Baal et d'Astarté : 1 Rois 19,2.
Nous pouvons nous demander comment il est possible que de telles tumeurs malignes se greffent sur le corps de Christ. L'histoire nous prouve, par la papauté, que de telles choses se sont produites et se produisent encore aujourd'hui. L'Eglise catholique n'est pas la seule à laisser de fausses prophétesses enseigner le peuple de Dieu. Les églises évangéliques, et particulièrement charismatiques, avec leur théologie dévoyée, ne sont pas en reste. Que quelqu'un vienne et se prétende prophète de Dieu, et aussitôt on se presse autour de lui, ou d'elle, pour entendre ce qu'il a à dire au nom de l'Eternel à Son peuple. Il suffit ainsi bien souvent de se parer d'un titre pompeux, et de prétendre avoir reçu en direct des révélations de Dieu, pour séduire le peuple de Dieu.
La faute première n'est pas d'abord celle des faux prophètes. Ils n'auraient aucune audience si les responsables d'Eglise faisaient leur travail. "Tu laisses faire", reproche le Seigneur à l'ange de l'Eglise de Thyatire. Tu tolères dans l'Eglise ce qui n'est pas tolérable. Tu laisses une femme enseigner les serviteurs de Dieu, alors que j'ai dit clairement que ce n'est pas aux femmes que revient ce rôle : 1 Timothée 2,12. Tu laisses quelqu'un qui dénature le message de l'Evangile prêcher, sans le reprendre et l'exclure. Aussi est-ce toi, le responsable, le premier coupable dans cette affaire. Puisque tu n'as pas eu le courage de sévir contre cette Jézabel, ce sera moi qui le ferai ( voir la suite).
samedi 3 février 2024
APOCALYPSE 2,19
Avec l'Eglise d'Ephèse, l'Eglise de Thyatire est celle qui reçoit de la part du Seigneur le plus de sujets d'appréciation. La lettre en énumère six qui sont, pour nous, autant de vertus que le Seigneur se plaît à voir pratiquer dans chaque assemblée. Par quoi devrait se caractériser la vie d'une Eglise engagée et fidèle à son Seigneur ? La liste des qualités citées dans ce verset y répond. Une Eglise engagée et fidèle à son Seigneur est une Eglise :
- qui oeuvre, travaille, agit pour Son nom par l'annonce de son Evangile, mais aussi pour le bien de ceux qui l'entourent. Une Eglise inactive et silencieuse passe à côté du but de son existence.
- qui pratique l'amour, aussi bien en son sein, qu'à l'extérieur. Jésus l'a dit : l'amour que l'on porte à notre Dieu ne peut se séparer de celui que l'on porte à son prochain : Matthieu 22,37 à 40. Une Eglise qui plaît à son Seigneur est une Eglise qui se préoccupe du bien qu'elle peut faire d'abord à ses membres, puis à ceux que Dieu met sur son chemin autour d'elle : Galates 6,10.
- qui marche par la foi. Une Eglise qui remplit sa mission est une Eglise qui va de l'avant, portée par la dynamique de la foi. Elle ne s'en tient pas au statuquo, mais elle se laisse guider par l'Esprit de Dieu pour saisir les opportunités de témoignage qui s'ouvrent à elle. Elle refuse de se laisser endormir par la routine, les acquis, l'illusion de la richesse et de la suffisance que le Seigneur dénoncera dans sa lettre à l'Eglise de Laodicée : Apocalypse 3,17
- qui se caractérise par le service. L'Eglise qui correspond à la pensée du Seigneur est celle en qui habite l'état d'esprit qui L'imprégnait dans Sa vie ici-bas. Le but de Jésus dans son humanité n'était pas de régner, mais de servir : Marc 10,45. Si, Lui, le Seigneur, s'est abaissé dans Son service à laver les pieds de Ses disciples, ce n'est pas par excès d'humilité qu'Il l'a fait, mais, dit-il, pour nous montrer, par un exemple frappant, ce que doivent être notre position et notre attitude ici-bas : Jean 13,13 à 17.
- qui persévère envers et contre tout dans la pratique des vertus citées auparavant. Quand commence le déclin d'une Eglise ? Lorsqu'elle est saisie par un esprit de lassitude, une langueur qui l'amène à baisser les bras. La force du Seigneur dans sa capacité à accomplir Ses desseins, nous rappelle Esaïe, est qu'Il ne se lassera pas : Esaïe 40,28. La force de l'Eglise d'Ephèse, citée précédemment, est, malgré les souffrances endurées, qu'elle ne s'est pas lassée : Apocalypse 2,3. Le péché d'Israël, cause première de sa chute, dénonce Esaïe, est qu'il s'est lassé de son Dieu : Esaïe 43,22. Trouvons chaque jour nos forces et notre joie dans le Seigneur pour ne pas baisser les bras et nous lasser d'oeuvrer, d'aimer, de servir et d'avancer par la foi.
- qui a multiplié les oeuvres. La dernière proposition est la conséquence directe de la qualité que le Seigneur vient de louer. Parce qu'elle ne s'est pas lassée, l'Eglise de Thyatire est portée par un enthousiasme créatif qui la conduit à entrer dans de nouvelles sphères d'activités qui multiplient les occasions de témoigner de sa foi, de son amour et de son esprit de service autour d'elle.
Que Dieu donne à chacune de Ses Eglises d'être louée pour ses oeuvres, son amour, sa foi, son service et sa persévérance en Lui !
APOCALYPSE 14,2
Quel est l'avantage d'être enfant de Dieu, un racheté de l'Agneau ? Le témoignage de ce qui se passe sur le mont Sion, la Jérusa...

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