jeudi 17 octobre 2024

APOCALYPSE 11,1 et 2

Alors que les fléaux des premières trompettes touchaient l'ensemble de l'humanité, le focus se rétrécit ici et porte notre attention sur ce qui se passe à Jérusalem, et plus particulièrement à l'endroit où se trouve le temple de Dieu. La mention du temple apporte ici un indice important quant aux jours qui constituent la période finale de l'histoire. A l'heure où nous sommes le temple de Dieu n'existe pas. Il n'a pas été rebâti, bien que des préparatifs importants soient en cours en vue de ce projet. Jean reçoit ici l'ordre de mesurer le temple sans son parvis extérieur, l'autel qui se trouve sans doute dans le lieu saint et la place réservée à ceux qui adorent Dieu en son sein. Alors qu'Israël a retrouvé sa terre et qu'elle est redevenue une nation, il est impensable à terme que le peuple juif ne puisse retrouver son temple. Ce temple est-il celui dont il est fait mention au sujet de l'antichrist, lorsqu'il est dit qu'il ira s'asseoir dans le temple de Dieu en se proclamant lui-même Dieu : 2 Thessaloniciens 2,4 ? La même expression étant utilisée, il est fort probable que ce soit le cas.

Le texte nous donne la raison pour laquelle le parvis n'a pas à être mesuré. Durant la période où le temple est présent, le parvis n'est pas un lieu sacré, mais profané par les nations. Tout le monde peut y déambuler qu'il soit un adorateur de l'Eternel ou non. Jean nous indique la durée de cet état de choses au milieu de Jérusalem : 42 mois ou 3 ans et demi. Nous ne sommes pas encore arrivés dans la révélation au point où l'antichrist apparaît. Mais déjà, les évènements que Jean décrit ici s'entrecroisent avec cette période qu'il va décrire plus loin lorsque le son de la 7ème trompette se mettra à sonner. La présence d'une foule de païens dans le parvis du temple laisse entendre une sorte d'accord tacite entre le peuple d'Israël renaissant et retrouvant son lieu de culte principal et les représentants des nations qui auront à leur tête l'antichrist. Pendant trois ans et demi, une alliance sera nouée qui apportera un semblant de paix à Jérusalem, entre les Juifs et les païens. Mais, comme nous l'annonce l'écriture, cette alliance sera soudainement brisée : Daniel 9,27 et les Juifs de nouveau persécutés et haïs par tous les peuples. 

Moi, dit l'Eternel, je hâterai ces choses en leur temps : Esaïe 60,22


Retrouvez moi tous les mercredis à 18 H sur : https://www.lasaintquentinoiseradio.fr/

mercredi 16 octobre 2024

APOCALYPSE 10,11

Ayant ingurgité le livre que l'ange lui a tendu, Jean reçoit de la part de Dieu un nouvel ordre de mission : il a la charge de prophétiser sur un grand nombre de peuples, de nations, de langues et de rois. La mission que reçoit Jean nous rappelle qu'il n'a jamais été dans la pensée de Dieu que la connaissance que nous recevons de Lui et de Sa volonté nous laissent passifs. Chacun de ceux qui connaît Dieu, qui a reçu de Sa part par le Saint-Esprit la révélation de ce qu'Il est, devient un envoyé. La connaissance que nous recevons de Dieu, de Sa volonté, de Ses voies, nous charge d'un message à transmettre et s'accompagne automatiquement d'un ordre de mission. "Vous recevrez une puissance, a dit Jésus à Ses disciples après Sa résurrection, lorsque le Saint-Esprit viendra sur vous et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie et jusqu'aux extrémités de la terre : Actes 1,8." Aussitôt après la vision qu'il reçut du Seigneur, Esaïe entend l'appel de Dieu : "Qui vais-je envoyer et qui marchera pour nous ? : Esaïe 6,8." Il est impossible de connaître les choses qui viennent du ciel et de ne pas se sentir poussé d'en parler sur terre.

L'ordre de mission que reçoit Jean, dans son île isolée de Patmos, a une caractéristique particulière. Sa portée est universelle. Depuis la venue de Jésus, le message à transmettre dépasse clairement la frontière du seul peuple d'Israël. L'ordre de mission reçu par Jean ici est conforme à celui donné par Jésus peu avant Son ascension aux disciples : Matthieu 28,18 à 20. "Je me dois, dit Paul, à tous, civilisés ou non, sages ou ignorants : Romains 1,14." Il n'y a plus désormais de limite, ni de barrière ethnique. La parole de Dieu est destinée à tous les hommes, tous les peuples. Elle doit être transcrite dans toutes les langues pour que tous l'entendent.

Du fond de son exil, Jean aurait pu se lamenter sur son impuissance. Comment aurait-il pu servir Dieu, isolé en pleine mer sur son rocher et loin de tout et de tous ? C'est sans compter sur les ressources de Dieu. Le message de Jean est aujourd'hui lu, connu et divulgué parmi toutes les nations. Lorsque Dieu ordonne, Il fournit aussi les moyens pour que Son ordre s'exécute. Ce que Dieu a en vue ne repose pas sur la force humaine. Dieu nous communique le message, mais Il fournit aussi les médias nécessaires pour que celui-ci atteigne en temps voulu sa cible.



Retrouvez moi tous les mercredis à 18 H sur : https://www.lasaintquentinoiseradio.fr/

lundi 14 octobre 2024

APOCALYPSE 10,8 à 10

Après la sentence prononcée par l'ange sur les habitants de la terre, Jean reçoit l'ordre d'une voix venant du ciel de prendre le livre que celui-ci a dans sa main et de le manger. L'ange se conforme à l'ordre de la voix et prévient Jean des effets que l'ingurgitation du livre aura sur lui. "Il sera, dit-il, amer dans ton ventre et doux comme du miel dans sa bouche." Jean fit ce qui lui était demandé et les choses se produisirent en lui comme il lui avait été annoncé.

L'ingurgitation du livre par Jean témoigne de l'expérience qui fut celle de tous les prophètes de Dieu. Etre prophète de Dieu n'est pas simplement être son porte-parole. Un porte-parole se limite à rapporter les propos de l'autorité dont il est le mandataire. Il est juste une voix qui parle, sans plus. Le prophète de Dieu n'est pas qu'un support humain pour la transmission de la Parole de Dieu. Le message dont il est porteur n'est pas détaché de lui, mais un avec lui. Il se doit de l'ingérer, de l'assimiler de manière à ce qu'il pénètre en lui et que lui-même en ressente les effets dans son propre être. Jérémie témoigne de cette réalité. Il n'a pas seulement entendu la parole, le message que Dieu lui demandait de communiquer. Il l'a dévoré. Les paroles de Dieu ont provoqué en lui de l'allégresse, elles ont fait la joie de son coeur : Jérémie 15,16. Ailleurs, il dit qu'elles ont en lui l'effet d'un feu dévorant qu'il n'arrive pas à contenir : Jérémie 20,9. Ezéchiel, quant à lui, a vécu la même expérience que Jean, mis à part la différence d'effets. Il a ressenti l'ingurgitation du livre comme quelque chose de doux à son palais, sans ressentir d'amertume dans son ventre : Ezéchiel 3,3. Quoi qu'il en soit, il est impossible d'être un véritable héraut de Dieu sans être soi-même impacté par le message que l'on est appelé à transmettre. Le message et le messager ne sont pas dissociables. La parole reçue doit passer par la bouche, être mastiquée, méditée pour toucher ensuite et affecter l'être intérieur. C'est alors qu'elle vivifie et fortifie, comme le font les aliments pour le corps.

S'il est toujours agréable de méditer la Parole de Dieu, l'effet secondaire de la méditation peut conduire celui qui la pratique à une profonde affliction. Dieu le rend sensible à l'état de son peuple ou à l'état du monde. Il l'avertit des châtiments et des jugements qui vont venir. Il jette son serviteur sur ses genoux ou le pousse à se lamenter, à pleurer ou à prophétiser avec force. La parole de Dieu ne nous laisse jamais stoïque ou de marbre. Si c'est le cas, c'est que nous n'avons pas pris le temps nécessaire pour l'assimiler, la mâcher, la ruminer. La force du prédicateur ne vient pas de son éloquence, mais de l'unité intérieure qu'il vit avec le message dont il est le porteur. Que Dieu nous donne, à nous qui sommes appelés à ce ministère, cette unité fusionnelle avec le message que nous sommes appelés à transmettre.


Retrouvez moi tous les mercredis à 18 H sur : https://www.lasaintquentinoiseradio.fr/

jeudi 10 octobre 2024

APOCALYPSE 10,5 à 7

Après avoir pris position sur la terre et sur la mer, l'ange leva sa main vers le ciel et jura par Celui qui vit aux siècles des siècles et qui est le Créateur de tout ce qui existe qu'il n'y a désormais plus de délai. Le temps qui a été donné aux hommes jusque là n'était en quelque sorte qu'une sorte de prologue. Ce temps s'achève. L'heure est venue pour Dieu de réaliser le projet éternel qui était le Sien. La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui qui mêle ivraie et blé, péché et sainteté, grâce et rébellion, coexistence entre justes et injustes, est arrivée à son terme. Le temps est venu de séparer une fois pour toutes ce qui, jusque là, cohabite, mais n'est pas de la même nature. Tel est le rôle des jugements qui vont venir et qui vont se déclencher par la sonnerie de la 7ème trompette qui vont introduire les sept coupes de la colère de Dieu.

Le message de l'ange est un sujet d'espérance pour les saints et les élus. Jusqu'à ce moment, Jésus l'a dit : le royaume de Dieu ressemble à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais pendant la nuit, un ennemi est venu et a semé de la mauvaise herbe, si bien que la bonne et la mauvaise semence croissent ensemble. Les serviteurs avaient demandé au maître s'ils devaient ôter cette mauvaise herbe. Mais le maître s'y est opposé. Les deux herbes cohabiteront jusqu'au moment de la moisson, temps où les moissonneurs les sépareront : cf Matthieu 13,24 à30 et 36 à 43. Non l'état actuel du monde, et même celui de l'Eglise, ne durera pas pour toujours. Le temps vient où la séparation définitive entre les élus et les réprouvés arrivent. Les jugements de la colère de Dieu vont, comme au temps du pharaon, mettre en lumière qui est du côté du camp de Dieu et qui est du côté de celui de la rébellion.

La position de l'ange, la main levée vers le ciel, témoigne que les jugements qui vont venir sont  une sentence prononcée depuis le tribunal de Dieu. L'ange ne jurerait pas si ce n'était pas le cas. Il peut jurer parce qu'Il est Dieu lui-même, comme chaque fois Il le fait quand Il veut assurer ses auditeurs que Sa parole est certaine : cf Genèse 22,16 ; 24,7 ; Exode 6,8 ; 1 Samuel 3,14 ; Psaume 89,3 ; Esaïe 14,24 ; 54,9 ; Hébreux 6,16-17 ; 7,21. Le verdict prononcé, il ne reste plus qu'à le mettre à exécution.



Retrouvez moi tous les mercredis à 18 H sur : https://www.lasaintquentinoiseradio.fr/

mercredi 9 octobre 2024

APOCALYPSE 10,2 à 4

La description qui nous est faite dans ces verset de l'ange que Jean a vu descendre du ciel témoigne de sa puissance. Debout, un de ses pieds s'appuie sur la terre et l'autre sur la mer. C'est dire le gigantisme de l'ange. Sa posture témoigne de l'assurance qui est la sienne face à tous les éléments qui composent l'humanité. L'ange est debout, fermement établi. Il domine sur tout ce qui est à Ses pieds et a le monde à sa merci. Sa position d'autorité valide l'idée que l'ange que voit Jean est plus qu'un ange, même s'il apparaît sous ses traits, comme Jésus-Christ était plus qu'un homme, bien qu'il en ait eu toute l'apparence.

Ainsi positionné, son petit livre ouvert dans sa main, l'ange cria d'une voix qui fit penser à Jean au rugissement du lion. La référence au lion nous renvoie directement au titre donné à Jésus lors de la vision que Jean a reçue au chapitre 5 : le lion de la tribu de Juda : Apoc 5,5. Roi des animaux auquel rien ne résiste, qui effraie par son rugissement tous les autres êtres, le Seigneur avertit le monde par son rugissement du jugement qui l'attend : cf Esaïe 5,29 ; 31,14 ; Joël 3,16 ; Amos 1,2. Accompagnant le rugissement du Seigneur, les sept tonnerres de Dieu firent entendre leur voix. Là encore, le phénomène est typique des apparitions de Dieu dans Sa majesté : Exode 19,16 ; Psaume 29,3 ; 104,7 ; 1 Samuel 7,10. Jean s'apprêtait à écrire les mots sortis de la voix qui émanait du tonnerre, mais une voix céleste ne le lui permit pas. Si le livre est ouvert, tout ne doit pas encore être divulgué. Ce qui relève de l'avenir appartient à Dieu seul. Et Lui seul sait quand c'est le moment de le dévoiler à Ses serviteurs les prophètes. Le monde en sait cependant assez par ce qui a été révélé et ce qui s'est déjà passé sur le jugement qui vient.


Retrouvez moi tous les mercredis à 18 H sur : https://www.lasaintquentinoiseradio.fr/

mardi 8 octobre 2024

APOCALYPSE 10,1 à 2

Après le fléau de la guerre, une nouvelle page s'ouvre ici par la vision introductive de l'ange puissant que Jean voit apparaître. Tout dans la description de cet ange témoigne qu'il y a là plus qu'une créature, mais qu'il s'agit en réalité du Seigneur Lui-même. Il descend du ciel enveloppé d'une nuée, couvert au-dessus de sa tête par un arc-en-ciel : Apoc 4,3, le visage brillant comme le soleil : Apoc 1,16, ses jambes comme des colonnes de feu : Apoc 1,15. Que l'Eternel se présente sous la figure d'un ange n'est pas nouveau dans l'Ecriture. De nombreuses fois, Il le fera sous l'appellation "l'Ange de l'Eternel", qui, si on étudie les textes qui s'y rapportent, est un être dont les attributs et les pouvoirs sont interchangeables avec ceux de l'Eternel Lui-même : cf Genèse 16,7 à 10 ; 22,15 à 18. 

L'ange venu des cieux n'a pas les mains vides. Il tient dans l'une de ses mains un petit livre ouvert. Que représente ce livre ? Tout ce que l'on sait, c'est que ce n'est pas la première fois dans l'Ecriture qu'il est question d'un livre lié à la prophétie. Alors que le prophète Daniel reçut de la part de Dieu des révélations qui touchaient à la période finale de l'histoire, il reçut l'ordre de garder les paroles qu'il avait reçues cachées et de marquer le livre qui les contenait du sceau du secret jusqu'au moment de la fin : Daniel 12,4. La scène que Daniel a vécu ressemble par de nombreux traits à celle de Jean dans l'Apocalypse, ce qui souligne encore un peu plus leur correspondance : cp Daniel 12,5 à 7 et Apoc 10,1 à 4. Au temps de Daniel, le moment n'était pas venu ni pour la publication de la révélation reçue, ni pour sa réalisation. Mais désormais le livre est ouvert. Le temps est venu, temps de la fin où le jugement doit s'accomplir.


Retrouvez moi tous les mercredis à 18 H sur : https://www.lasaintquentinoiseradio.fr/

mercredi 2 octobre 2024

APOCALYPSE 9,20 ET 21

Le fléau de la guerre initiée par les cavaliers et leurs "chevaux" ayant fait périr le tiers de l'humanité, on aurait pu croire que les deux tiers restant, affligés par une telle perte, se jettent sur ses genoux pour crier à Dieu, lui demander grâce et se repentir de la folie de l'humanité. Il n'en est rien. Aucune remise en question profonde ne se produit, aucun changement de mentalité. On continue à se comporter de la même manière, comme si rien ne s'était passé. On voue aux idoles fabriquées par l'homme et aux démons le même culte, la même adoration. On ne revient pas en arrière sur les pratiques sexuelles abominables qui ont cours et on continue à tuer son prochain pour un rien. Le témoignage de ce constat montre qu'il faut bien plus qu'une guerre terrible et de grandes souffrances pour changer le coeur de l'homme. On déplore les malheurs qui se produisent, mais on ne discerne pas derrière eux l'appel de Dieu qui ordonne aux hommes de se repentir de leurs crimes, leur idolâtrie, leurs vices, leurs vols, leur tricherie, leurs mensonges, leur amour de l'argent, leurs pratiques occultes, leur méchanceté et leur vanité.

Ce triste constat justifie mieux que par n'importe quels arguments la nécessité vitale de l'oeuvre du Saint-Esprit pour conduire véritablement un homme à la repentance. L'homme charnel est inimitié contre Dieu. Il n'a aucun pouvoir pour changer par lui-même les dispositions de son coeur. Seule une opération divine et surnaturelle peut le retourner et le conduire à aimer et rechercher ce qu'il fuit et haïr et rejeter ce qu'il chérit naturellement. Tout du début à la fin, dans la recréation spirituelle d'un être, est l'oeuvre de Dieu par Jésus-Christ. C'est Lui, et Lui seul, qui nous donne le pouvoir d'être enfants de Dieu, nés de nouveau non du fait de leur nature ou par le pouvoir d'une volonté humaine, mais de Dieu : cf Jean 1,12-13. 


Retrouvez moi tous les mercredis à 18 H sur : https://www.lasaintquentinoiseradio.fr/

mardi 1 octobre 2024

APOCALYPSE 9,16 à 19

C'est sous la forme d'une guerre mobilisant des troupes immenses (200 millions d'hommes) que se concrétise le 2ème malheur annoncé par l'aigle parcourant le ciel : Apocalypse 8,13. Jean présente cette guerre comme étant celle d'une cavalerie. Mais la description qu'il fait des montures témoigne qu'il ne s'agit pas ici d'équidés, mais d'armes de combat qui n'existent pas en son temps. Les chevaux que Jean voit sont revêtus d'une cuirasse, ce qui, si c'était des animaux, leur ôterait toute agilité. Les têtes des chevaux étaient semblables à des têtes de lions, et leur pouvoir de nuisance se trouvait dans leurs bouches, qui crachaient du feu, de la fumée et du soufre, et dans leurs queues.

Les armes qui sont utilisées dans le combat que voit Jean, combat qui va conduire à la mort du tiers des habitants de la terre, témoignent que Dieu n'a pas besoin d'intervenir directement pour juger les hommes. Les armes de destruction massive que ceux-ci ont conçu par leur ingéniosité suffisent, par l'inspiration d'esprits mauvais, pour qu'ils se détruisent eux-mêmes. Il existe aujourd'hui suffisamment de stocks de ce type d'armes pour que le tiers de l'humanité disparaissent en peu de temps. L'histoire nous apprend par ailleurs que jamais l'homme n'a fabriqué une arme de guerre sans qu'un jour il ne s'en serve contre son prochain. Les discours belliqueux des dirigeants du monde actuel, leurs menaces continuelles d'utiliser les pires armes qu'ils ont à leur disposition témoignent du fait que, du jour au lendemain, sous la pression d'une menace trop forte, ils sont capables de provoquer un holocauste plus gigantesque que tout ce que l'on a vu jusqu'à présent. Personne n'est plus réaliste que la Parole de Dieu lorsqu'il s'agit de nous dire de quoi l'homme rebelle, pécheur, sous l'influence du diable, est capable. Si nous avons encore quelque illusion humaniste sur la bonté de l'homme, il serait temps de changer d'avis et d'aligner notre opinion sur celle de l'Ecriture. L'homme est désespérément mauvais et incapable de changer sa nature par lui-même. Seul Christ, le Prince de la paix, peut apporter paix et sécurité dans ce monde !


Retrouvez moi tous les mercredis à 18 H sur : https://www.lasaintquentinoiseradio.fr/

Apocalypse 11,7 à 11

"Tant que notre oeuvre n'est pas terminée, nous sommes immortels", disait James Fraser. Cette vérité qui soutenait ce missionn...