jeudi 20 novembre 2025

APOCALYPSE 17,8


A l'étonnement de Jean à la vue de la bête et de la prostituée, l'ange répond par une explication. Il la débute par la révélation de l'identité de la bête que l'apôtre a vue. La bête qu'a vue Jean, dit l'ange, n'est pas une nouveauté dans l'histoire. Elle a déjà existé dans le passé et elle réapparaîtra dans l'avenir. On la croyait morte, appartenant aux vestiges du passé. Mais la fin des temps verra sa "résurrection". Cette "résurrection" ne sera pas due à un phénomène naturel. Elle est la manifestation spirituelle d'une puissance qui sort de l'abîme, le lieu où se trouvent les puissances infernales captives : Apocalypse 9,2.11 ; 11,7. Si la bête revient pour exercer de nouveau son influence malfaisante sur le monde, sa destination finale est cependant toute tracée. Elle sort de l'abîme pour aller définitivement à la perdition. La réapparition de la bête dans la période finale de l'histoire va susciter chez les habitants de la terre un grand étonnement, comme celui que provoque un prodige sous les yeux d'une foule médusée. Comment est-ce possible qu'une telle chose se produise ? Nul doute que ce miracle contribuera à la fascination que la bête exercera sur les foules et à son emprise sur les nations du monde.

Qui est cette bête qui n'était plus et qui réapparaîtra ? L'ange va nous donner d'autres explications dans les versets suivants. Ce qu'il faut cependant retenir ici est, qu'une fois de plus, alors que le monde entier sera séduit, fasciné et aveuglé par la puissance de la bête, une seule catégorie d'hommes verra clair : ceux dont le nom a été inscrit dans le livre de vie dès la création du monde, les élus de Dieu. Habités par le Saint-Esprit, ils seront les seuls à discerner la supercherie et la nature diabolique du prétendu sauveur que le diable aura suscité pour perdre définitivement l'humanité rebelle. Mesurons la grâce qui est la nôtre d'avoir, par le Saint-Esprit la connaissance de Dieu et de la vérité. Elle seule a le pouvoir de nous garder dans les temps de la fin, temps où la tromperie et la séductions seront à leur comble.



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mercredi 19 novembre 2025

APOCALYPSE 17,7

Bien que l'ange s'étonne de ce que Jean soit étonné suite à la vision qu'il a eue de la prostituée assise sur la bête, l'étonnement fait partie de la vie des hommes comme de celle de Dieu. Alors que la situation du peuple de Dieu est au plus mal, Esaïe nous dit que par deux fois Dieu dit qu'il s'étonne que personne n'intercède pour lui: Esaïe 59,16 ; 53,5. Oui !Il est toujours aussi étonnant qu'il y ait finalement si peu d'hommes de prière dans le monde, qui ait à coeur le bien du peuple de Dieu. Un des sujets d'étonnement les plus fréquemment cités dans l'Ecriture est ce que deviendra Israël, le peuple de Dieu, suite à ses désobéissances : Deutéronome 28,37 ; 1 Rois 9,8 ; 2 Chroniques 7,21 ; Jérémie 19,8. Jusqu'où va descendre ton peuple, ô Dieu, avant d'être relevé ? En tant que Fils de Dieu, nous pourrions croire, qu'au vu de Sa connaissance parfaite des choses, Jésus ne s'étonne de rien. Pourtant, le Fils de Dieu fera preuve d'étonnement en constatant la mesure de foi dont a fait preuve un officier romain, un païen, venu quémander auprès de lui la guérison d'un de ses serviteurs : Matthieu 8,10. Une autre cause d'étonnement dans les Evangiles vient des signes miraculeux et des prodiges extraordinaires que faisait le Seigneur : Matthieu 8,27 ; Marc 2,12 ; 5,20 ; 5,42 ; 6,51 ; 7,37 ; Luc 5,26. Ceci est normal car Jésus le dira lui-même : le Père aime le Fils et lui montre tout ce qu'il fait ; Il lui montrera des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l'étonnement : Jean 5,20. L'étonnement des Juifs et des disciples au temps de Jésus était compréhensible, tant qu'ils n'avaient pas saisi qui Il était vraiment. S'ils avaient vu qu'Il était Dieu, ils n'auraient pas été étonnés, car, dit l'Ecriture, il n'y a rien qui soit étonnant de sa part : Genèse 18,4 ; Jérémie 32,17 et 27. 

Alors qu'il était un chef des Juifs qui cherchait à obéir strictement à la loi de Moïse, Nicodème fut étonné d'entendre Jésus lui dire qu'il était nécessaire, pour entrer dans le royaume des cieux, de naître d'en-haut, par l'Esprit : Jean 3,7. Il comprit à ce moment-là qu'il ne comprenait rien au BA-BA du royaume de Dieu. Une chose qui étonna l'apôtre Paul dans son ministère est de constater avec quelle rapidité les Galates, qui avaient pourtant reçu le bon et clair Evangile, s'étaient détournés de lui : Galates 1,6. L'homme est, en effet, stupéfiant dans sa capacité de se perdre et de s'égarer, même après avoir reçu la vérité. A l'opposé, les chrétiens peuvent aussi être parfois un sujet d'étonnement pour les non-chrétiens. Alors que Pierre et Jean comparaissait devant le sanhédrin, les juifs furent étonnés de voir l'assurance qui était en eux. Ils savaient qu'ils avaient face à eux de simples hommes du peuple sans instruction : Actes 4,13.

Toute notre vie est ponctué de moments d'étonnement. Etonnement face à la folie des hommes, leur cruauté, leur aveuglement. Etonnement face à la bonté et la patience de Dieu. Mais le plus grand étonnement de tous est le fait de se savoir élu, choisi par Dieu de toute éternité pour faire partie de Son peuple racheté. Connaissez-vous cet étonnement ?




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samedi 15 novembre 2025

APOCALYPSE 17,6

Si, jusqu'ici, l'apôtre Jean s'est attaché à décrire la femme qui chevauche la bête, pour la première fois ici, il fait part à sa vue de son étonnement. Ce qui étonne Jean n'est pas l'aspect de la prostituée, mais certainement la découverte de son identité et de ses méfaits. Qui est cette femme dans l'histoire ? Elle est celle qui a persécuté sans pitié et de façon discontinue les saints de Dieu. Jean la décrit comme une femme ivre, non suite à l'absorption d'alcool ou de spiritueux, mais ivre du sang des saints et des témoins de Jésus. Que représente donc cette femme ? Elle est la synthèse de tous les systèmes religieux, ici unifiés qui, tout au long de l'histoire, se sont montrés cruels et sans aucune tolérance envers les véritables disciples de Jésus. Le premier de ces systèmes a sans nul doute été le catholicisme qui ne supportait aucune concurrence dans le leadership de la chrétienté. Mais il n'est pas le seul. Toutes les prétendues religions et spiritualités ont apporté leur contribution à cette volonté d'éradication de l'Eglise : l'islam, l'hindouisme, le paisible bouddhisme... C'est cette coalition religieuse antichrétienne qui à la fin des temps va servir de caution spirituelle à la bête !

L'étonnement de Jean est à la fois compréhensible, et non. A partir d'un moment où un parti ou une idéologie prétend être la vérité, il ne supporte pas ceux qui, de leur côté, se présentent comme les serviteurs de Celui qui a dit l'être, et qui l'est en réalité : Jésus. Nous le voyons partout. "Hors de l'Eglise, pas de salut !" a clamé haut et fort la papauté pendant des siècles, liant cette déclaration à la persécution et la mise à mort de ceux qui disaient haut et fort : "Hors de Jésus seul, pas de salut !" Les textes de l'islam manifestent une toute aussi forte intolérance, appelant à tuer tous ceux qui ne reconnaissent pas en Mahomet la dernière parole de Dieu et le dernier des prophètes. Sur le plan des idéologies humanistes, ce n'est pas mieux. Convaincus par leur vérité qui fait tout graviter autour de l'homme, ses désirs, ses aspirations, ses droits, sa liberté d'être ce qu'il veut, leurs tenants ne supportent pas le discours chrétien qui les qualifie de pécheurs, de créatures de Dieu contingente de Lui dans leur liberté et leur vie. La persécution ne va pas toujours jusqu'au sang, mais elle n'en est jamais loin. L'athéisme idolâtre de la Corée du Nord en témoigne !

Jésus, quant à lui, nous a averti, et nous appelle à ne nous étonner de rien. "Ils vous excluront des synagogues, dira-t-il à ses disciples d'origine juive ; et même l'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu : Jean 16,2. Je vous ai dit ces choses, non pas pour vous effrayer, mais pour que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde ; mais, prenez courage, j'ai vaincu le monde : Jean 16,33.

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lundi 13 octobre 2025

APOCALYPSE 17,5

Après sa tenue, Jean s'attarde sur l'identité sous laquelle la prostituée lui est présentée. Rappelons ici que la vision que l'apôtre décrit est une vision spirituelle. Elle correspond à la vue qu'a Dieu de la réalité, et non celle que les hommes en ont sur la terre. La vision de Dieu n'est ni édulcorée, ni embellie. Elle correspond soit à la beauté des choses telles qu'elles sont (exemple : l'Eglise : Ephésiens 5,27), soit, comme ici, à laideur de leur être tel qu'il est.

Comme les élus de Dieu, la prostituée porte elle aussi un nom mystérieux sur son front, un nom qui, dit Jean, est un mystère. La marque sur le front des élus équivaut à un sceau : le sceau de l'Esprit de Dieu qui indique au monde spirituel le signe de leur appartenance à Dieu. La marque de la prostituée, située elle aussi sur son front, souligne que, quelque part, dès sa naissance, celle-ci appartient sur le plan spirituel au camp du mal. Il se peut qu'ici-bas elle ait l'allure d'une institution respectable, mais cette apparence ne trompe pas Dieu qui la connaît pour ce qu'elle est. Le nom que la prostituée porte est celui de Babylone, la mère des prostituées et des abominations de la terre. Babylone est la matrice de tout ce qu'il y a de plus corrompu et de plus abominable ici-bas. Elle est le système qui favorise le mélange et la confusion. Alors que l'Epouse du Christ ne prête allégeance qu'à lui et éloigne d'elle tout ce qui pourrait la corrompre, la prostituée est avide de se lier à n'importe qui et n'importe quoi. Il n'y a chez elle aucune frontière qui ne puisse être transgressée, aucun cadre saint dans lequel elle doit vivre. En son sein, tout, sous prétexte d'amour, de liberté et de tolérance, est permis, y compris l'abject et l'odieux.

Alors que nous approchons de la fin, il est à parier que, malgré les apparences et les masques sous lesquelles elle se cache, la prostituée dévoilera de plus en plus son vrai visage. Les saints découvriront que ce qui avait le visage d'une institution morale cachait en son sein une impureté incroyable. Je dis ici "les saints", car, pour les autres, le visage de la prostituée, son laxisme et sa permissivité, ne seront que le reflet de ce qui se fait sans honte dans le monde. "C'est pourquoi, dit le Seigneur, sortez du milieu d'eux et séparez-vous ; ne touchez pas à ce qui est impur et je vous accueillerai. je serai pour vous un père et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant : 2 Corinthiens 6,17-18."


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jeudi 9 octobre 2025

APOCALYPSE 17,4

Après le lieu et la compagnie avec laquelle se trouvait la prostituée, Jean nous décrit son apparence. Contrairement aux prostituées qui sont dans les rues, la femme qui chevauchait la bête n'avait rien d'une pauvresse. Habillée de pourpre et d'écarlate, parée d'or et de toutes sortes de pierres précieuses, elle avait l'apparence d'une reine et d'une prostituée de luxe. Elle avait dans sa main une coupe d'or remplie d'abominations et des souillures de sa prostitution. le moins qu'on puisse dire est que, malgré ses turpitudes, la prostituée avait réussi dans ce monde. Elle n'était pas comme les filles de rue qui essayent de gagner péniblement et horriblement leurs vies par le trafic qu'elles font de leurs corps.

Le portrait que nous donne l'Apocalypse de la femme est celui qui correspond à l'image que Dieu a du système de ce monde. La gloire de ce système est celle de la richesse, de la magnificence de l'apparat. Il parle du train de vie des élites qui sont à sa tête, élites qui se comportent comme des rois et font de l'opulence leur marque de prestige. Il y a toujours eu un lien très étroit entre le train de vie des élites de ce monde et les bijoux et objets de luxe qu'ils arborent. C'est à qui possèdera la bague la plus riche, le plus gros diamant, et les perles les plus précieuses. Tout ceci cependant n'est que façade. Derrière l'apparence, les élites se vautrent dans des pratiques dégradantes. Elles commettent entre elles les pires abominations condamnées et épinglées par la loi de Dieu : viols, abus sexuels, prostitutions, pédophilies, et quantité d'autres que la bienséance ne permet pas de nommer. Une image vaut parfois mieux que toutes les descriptions. La vision qu'a Jean sous les yeux se suffit à elle-même pour nous dresser le portrait de ce qu'est le monde dans sa réalité : une prostituée dégoutante chevauchant une bête immonde.


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samedi 4 octobre 2025

APOCALYPSE 17,3

Après avoir indiqué à Jean quel était l'objet de la vision qu'il allait lui révéler, l'ange de Dieu le transporte en esprit dans un désert dans lequel se trouve la prostituée dont il lui a parlé. Arrivé sur place, Jean voit une femme qui n'est pas seule. La prostituée chevauche une bête rouge écarlate, sorte d'hydre à sept têtes et dix cornes couverte de noms blasphématoires. L'ange ne laissera pas Jean sans explication au sujet de la vision qu'il reçoit. Tout le chapitre va servir à expliquer en détail son sens.

La question première que pose la vision que Jean reçoit ici est la raison du lieu où se trouve la femme : le désert. Au vu de son influence dans le monde, il aurait été plus logique de la rencontrer dans une ville, au milieu de la société humaine. Mais ici, la femme et la bête se trouvent dans un lieu isolé, écarté du monde. Une des raisons probables de la vision de la prostituée dans le désert est de donner à Jean une vue exacte, nue, de la réalité qui touche à cette femme en-dehors de son apparence dans le monde. La vision que Jean reçoit n'est pas celle que les hommes ont de la vue de la femme. Elle est celle de Dieu. Derrière la gloire et l'influence de la civilisation sans Dieu, une réalité beaucoup plus immonde se cache. Une alliance étroite lie le système de ce monde, y compris religieux, avec celui qui en est le prince spirituel. La prostituée qui chevauche la bête n'a qu'une utilité. Elle est l'appât qu'il utilise pour attirer à lui les grands de ce monde et les faire passer sous son autorité. Si les hommes de ce monde avaient la vision de la réalité qu'a reçue ici Jean, ils se détourneraient horrifiés de la voie qu'ils suivent. Ils verraient que la cause qu'ils servent, et que leur vend la prostituée par ses charmes, est, non seulement mensongère, mais encore monstrueuse.

Il nous faut, nous chrétiens, garder la vision qu'a reçue Jean, et ne pas nous laisser tromper par les sirènes du mensonge. Jésus nous a prévenu. Les humains peuvent être si égarés dans leur entendement qu'ils sont capable de croire qu'en tuant des chrétiens, ils rendent un culte qui est agréable à Dieu : Jean 16,2 (voir islamistes). Le but premier de la Révélation et du Saint-Esprit et de déciller nos yeux et de délivrer notre âme de toute séduction et illusion quant à la réalité spirituelle de ce monde. Croyons pleinement en ce que Dieu nous dit et nous révèle : c'est la vérité brute et sans fard.



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mercredi 1 octobre 2025

APOCALYPSE 17,2

Précisant l'identité de la prostituée qu'il s'apprête à faire voir à Jean, l'ange la désigne comme celle avec qui les rois de la terre se sont livrés à l'immoralité et qui a enivré tous les habitants de la planète du vin de sa prostitution. Plus qu'une ville, la prostituée représente bien ici un système spirituel qui exerce son influence sur le monde entier. Cette influence est si universelle que personne n'y échappe. C'est dans leur relation avec la prostituée que les rois de la terre se sont corrompus. La puissance de la prostituée est telle qu'il n'est aucun être humain qui n'a pas été affecté par le vin qu'elle leur a fait boire. Il y a dans le monde des hommes une influence spirituelle sournoise (le vin est comparé à l'Esprit : Ephésiens 5,18) qui leur fait perdre la raison et le sens des réalités. Le monde est comme un homme ivre qui a perdu le contrôle et qui est capable, à cause de son état, des pires excès. Il est dirigé et conduit par des hommes immoraux, corrompus, desquels il serait vain d'espérer quoi que ce soit en termes de droiture, de pureté et d'honnêteté.

Au regard de l'impact qu'a, dans le monde, l'influence de la prostituée assise sur les grandes eaux, la question se pose : qui est-elle ? A l'époque de Jean, nul doute que Rome était la puissance qui incarnait le mieux cette prostituée. "Dans les pays conquis, les Romains laissaient souvent en place des rois des peuples assujettis; les empereurs romains avaient aussi accordé le titre de roi à plusieurs personnages en leur donnant autorité sur tel territoire faisant partie de l'empire. ces rois avaient tout intérêt à servir les intérêts de l'empereur... Rome avait de son côté encouragé  les cultes rendus aux divinités de ces peuples, souvent associés au culte de l'empereur. Les jeux en tous genres et compétitions sportives liées à ces cultes occupaient la population. Et l'immoralité ambiante, en partie liée à ces cultes, paraissait prometteuse d'exquises jouissances : Commentaire sur l'Apocalypse : Sylvain Romerowski."

Rome n'est plus aujourd'hui la puissance dominante du monde, celle qui exerce son influence sur tous les peuples par sa culture et son modèle. Elle a été remplacée en notre temps par les Etats-Unis qui, partout, exerce leur influence sur le mode de vie, les loisirs et la culture des peuples. C'est aux Etats-Unis que se créent les alliances entre rois de la terre. L'interprétation est-elle juste ? Dieu nous le montrera bientôt !

APOCALYPSE 17,8

A l'étonnement de Jean à la vue de la bête et de la prostituée, l'ange répond par une explication. Il la débute par la révélation de...